备注:已完结
类型:爱情片
主演:瑞茜·威瑟斯彭 卢克·威尔逊 塞尔玛·布莱尔 马修·戴维斯 维克多·加
导演:罗伯特·路克蒂克
语言:
年代:未知
简介:艾丽(瑞茜•威瑟斯彭ReeseWitherspoon饰)虽然拥有羡煞旁人的美貌——金发,白肤,高挑,精通打扮,就像一个精美的芭比娃娃。美貌和活泼的性格,让艾丽成为了一个完美的女生。她的男友沃纳(马修•戴维斯MatthewDavis饰)条件也不俗,拥有富贵的出身和出众的外表。两人十分般配,却想不到沃纳根本就没把艾丽当成终身伴侣,在他眼中,艾丽只是一个花瓶,除了漂亮别无所长,于是他考上哈佛法学院之后,甩了艾丽,与旧女友重拾旧爱。艾丽不甘心,千方百计也考上了哈佛,她要用行动来证明自己并非徒有外表。哈佛的学习生活非常枯燥,而且这个金发美人还处处受到歧视。令大家大跌眼镜的是,艾丽竟然机智的干了一番事业。
备注:已完结
类型:喜剧片
主演:汤姆·汉克斯 梅格·瑞恩 罗斯·马林格 丽塔·威尔逊 维克多·加博 汤
导演:诺拉·艾芙隆
语言:
年代:未知
简介:自从妻子去世后,萨姆(汤姆·汉克斯TomHanks饰)就相信自己此生的爱已经走到了尽头,不会再有新的恋情走进心中,他在西雅图和儿子乔纳一起平静的生活。而乔纳,却一直希望爸爸能够开始新的婚姻,重获生活的阳光。抱着这样的想法,乔纳在圣诞夜打电话到电台的情感热线。就这样,萨姆的经历在此夜传遍了各个角落,很多人在倾听他的故事,其中包括安妮(梅格·瑞安MegRyan饰)——一个住在东部的女记者。她善良,温柔,有一个知心的好友,和一个即将结婚的男友。然而,幸福的生活就被这个电话彻底打破了。她的内心有一种冲动,让她一步步地接近这个远在西部的男人。然而,一次次辗转的错过让萨姆和安妮迟迟不能会面。屡次在缘份的天空下失诸交臂的二人,一直为爱而奔波,等待一个遇见的机缘。
备注:已完结
类型:动画电影
主演:朗贝尔·维尔森 波利娜·布伦纳 安妮-玛丽·卢珀 皮埃尔·巴顿 多米尼
语言:法语
年代:未知
简介:一份跨越种族的深厚感情,一次直触心底的神奇旅程。 从小生活在孤儿院的小老鼠赛娜几经波折,终于从地下鼠国逃出。可是当她跌跌撞撞地来到熊的王国时,却一路受尽鄙夷和白眼。疲惫的小赛娜沉沉地睡在垃圾桶里,一觉惊醒后发现一只体型硕大的大熊正要把她当作晚餐。然而经过此次的风波后,两人很快成为了朋友。原来这只名叫艾特的熊先生是名街头音乐家兼马戏团演员,多才多艺的艾特还从事过很多职业。热情的艾特带着赛娜到家里住,他们彼此扶持理解,相互鼓励帮助。一份看似不可能发生的友谊,正在挑战着现有的秩序和规则,也正慢慢变得越来越深厚坚实。 《艾特熊和赛娜鼠》以温馨的水彩手绘画风和治愈系的内容剧情,荣获2013年第38届凯撒奖最佳动画片,入围2013年第3届北京国际电影节国外展映单元及2012年多伦多电影节“儿童片”展映单元。《艾特熊和赛娜鼠》系列绘本由比利时女作家嘉贝丽·文生创作...
备注:已完结
类型:欧美剧
主演:奥娜·卓别林 威尔·梅勒 Annie Hulley 本·卓别林 谢里丹
导演:约翰·梅布里
语言:英语
年代:未知
简介: David(Will Mellor 饰)是一个忠厚老实的北方男子,焦灼地等待着迟到的约会对象Mia(奥娜·卓别林 Oona Chaplin 饰),她出现后却说自己突然不想约了,二人陷入僵持局面;Jenny是一名小学老师,跟相亲对象的第一次约会相当顺利,却不小心发现了他的秘密,而她自己也有不可告人的秘密;Erica是一个不敢和家人出柜的女同性恋,约会对象Kate得知她曾经和男人交往后十分生气,原本暧昧的气氛一时陷入尴尬。 《约会男女》描绘了现代社会里一众寂寞男女试图通过“相亲约会”的方式来寻觅真爱的故事,向我们展示了形形色色的恋爱关系。在每一段看似独立却又相互交织的男女关系里,主角们演绎着精彩纷繁的故事,而我们作为观众,总能在这一段段情缘中找到共鸣。
备注:已完结
类型:纪录片
主演:蒂莫西·利瑞 艾德·艾姆许维勒 Franz Fuenstler 杰克·
导演:乔纳斯·梅卡斯
语言:英语
年代:未知
简介: Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969 Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963. « Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. » Jonas Mekas « Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. » Jonas Mekas, 1972 « Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. » P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997 « Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. » Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000