备注:已完结
类型:战争片
主演:费尔南多·费尔南·戈麦斯 Manuel Lozano Uxía Bla
导演:何塞·路易斯·奎尔达
语言:其它
年代:未知
简介:1936年的西班牙夏天,8岁的莫曹第一天上课便拉尿,弄得全班哄堂大笑,唯有老师安慰解难,小莫曹才可释怀。友情亦从这天开始。二人走到效外扑蝶捕虫,在日光下讲文学说自然,不亦乐乎。日光再强也挡不住政治的阴霾——西班牙内战,老师的政见政绩,顷刻成为众矢之的……
备注:已完结
类型:剧情片
语言:其它
年代:未知
简介:奥尔加(Galina Belyayeva 饰)是守林人的女儿,十九岁的她年轻,美丽热情,全身上下充满了活力,然而,在极具欺骗性的外表之下,隐藏着一颗奸诈刻薄又趋炎附势的内心。乌尔边宁(Leonid Markov 饰)、卡尔涅耶夫(基里尔·拉夫罗夫 Kirill Lavrov 饰)和卡梅舍夫(奥列格·扬科夫斯基 Oleg Yankovsky 饰)三个男人拜倒在奥尔加的石榴裙下,想要娶她为妻,最终,奥尔加选择了看起来最有钱的乌尔边宁,然而,在新婚那天,奥尔加又对卡梅舍夫表达了爱意。结婚之后,奥尔加才知道,乌尔边宁根本没有看起来的那样有钱,受不了贫穷日子的奥尔加转而成为了卡尔涅耶夫的情妇。
备注:已完结
类型:战争片
主演:玛格丽特·捷列霍娃 因诺肯季·斯莫克图诺夫斯基 奥列格·扬科夫斯基 菲
导演:安德烈·塔可夫斯基
语言:其它
年代:未知
简介: 本片是导演安德烈·塔科夫斯基(Andrei Tarkovsky)的一部自传体电影。幼年的塔科夫斯基随着母亲(玛格瑞塔·泰瑞柯娃 Margarita Terekhova 饰)去亲戚家借钱,他独自在一个陌生的房间里发现了一面镜子,并通过镜子审视自己,在巴赫的音乐中,塔可夫斯基的回忆慢慢带出了一系列的事件:电视上在播报一个口吃的年轻人通过催眠治痊了自己;一个被家庭忽视的妻子遇上一位迷路的乡村医生,两人之间产生若即若离的关系;一个未曾露面的叙述者与前妻在争吵;一个早熟的年轻人备受军事指导员的呵责。这些毫无关联的片段式回忆通过镜子串联起来,展现了导演对时间、历史、生活、土地、梦境等意象的哲学思考。 导演的母亲在影片中扮演艺术家的母亲;他的父亲,一位著名的俄罗斯诗人,在画外音中朗读自己的诗作。
备注:已完结
类型:剧情片
主演:奥列格·扬科夫斯基 厄兰·约瑟夫森 多美兹亚娜·佐丹奴 帕特里齐娅·特
导演:安德烈·塔可夫斯基
语言:其它
年代:未知
简介: 俄国诗人安德烈(奥列格·扬科夫斯基 Oleg Yankovsky 饰)在美丽的女翻译尤金伲亚(多美兹亚娜·佐丹奴 Domiziana Giordano 饰)的陪同下,一同前往意大利寻访一位十八世纪俄国作曲家的生活。他们一起走访充满宗教意象的乡村教堂,在一座有天然温泉的古老小镇停留。 此时他遇见了不被世人理解的疯人多米尼克(厄兰·约瑟夫森 Erland Josephson 饰),村民因为他早些年囚禁家人而认为他神经失常。可安德烈看到了多米尼克疯狂下的深意,并被他所吸引。同时他拒绝了性感的尤金伲亚的示爱。此时的安德烈,游走在支离破碎的现实与超现实的梦境中不能自拔。他对祖国的思念、与家人的分离……种种情愫混杂在一起,彼此纠缠,化为终生的乡愁。 本片获1983年戛纳电影节最佳导演奖,普通评审团奖,国际影评人费比西奖。
备注:已完结
类型:其他综艺
主演:迈克尔·杰克逊 乔·佩西 肖恩·列侬 Kelley Parker 布兰
导演:科林·奇尔弗斯 Jerry Kramer Jim Blashfield
语言:
年代:未知
简介:迈克尔·杰克逊自资拍摄电影’Moonwalker’(外星战将),但是并没有得到预期的佳评。在这部电影中,迈克尔·杰克逊将自己塑造成一个漫画主角般,一身短小的西装,一顶压得很低的礼服帽,片中表演了惊人的顷斜45度的舞蹈。这些都成为了迈克尔·杰克逊个人神话中不可替代的标志。此片全场劲歌热舞,令人热血沸腾!洛杉矶市长TomBradley宣布11月为’MichaelJacksonMonth’(麦可杰克森月)。杰克逊推出了自己创作故事脚本,自己投资拍摄的音乐电影《Moonwalker》。在这部电影中,杰克逊俨然将自己塑造为一个如漫画名角迪克。崔西般的传奇人物。一身短小的西装,一顶压的很低的礼帽,袖子上扎着一个袖标,所有这些都成为了杰克逊个人神话中不可替代的标志性符号。值得一提的是,正是在这部电影中,杰克逊表现出了对于儿童的特有的偏爱。就像当年曾红遍中国大街小巷的游戏厅中那个根据《Moonwalker》改编而成的游戏里反映的那样,杰克逊不仅要拯救世界,杰克逊更重要的是拯救儿童。也正是从这张专辑开始,杰克逊和他的唱片公司一起走上了一条造神的不归之路.
备注:已完结
类型:恐怖片
主演:瓦妮莎·雷德格雷夫 奥列佛·里德 杜德里·沙顿 麦克斯·艾德里安 杰玛
导演:肯·罗素
语言:英语
年代:未知
简介:肯·罗素(Ken Russell)根据约翰·惠廷(John Whiting)1961年的RSC戏剧改编,原作为阿道司.赫胥黎(Aldous Huxley)于1952年进行的卢丹冤案的研究。 影片主要内容是发生在17世纪法国,个人自由主义色彩浓厚的乌尔班·格兰迪神父(Ur bain Grandier)顶撞到了天主教枢机黎塞留公爵的权威,从而导致公爵和教会开始共谋如何利用修女被“恶魔”附身这一借口来陷害神父,最终导致悲剧发生。 这部电影虽然有很多大胆惊人的地方,但不妨碍其成为英国电影中独特且具有里程碑意义的影片。奥利弗·里德(Oliver Reed)饰演格兰迪神父和凡妮莎·雷德格雷夫(Vanessa Redgrave)饰演的女修道院院长都表现出色,Derek Jarman设计的片场布景更是令人难忘。 编剧阿尔多斯·赫胥黎为导演肯·罗素这部火花四溅的杰作提供了素材。这部影片描述了在17世纪的法国,修女对主教暗生情愫,这种情绪在修道院中蔓延,整个修道院的修女都赤身迎接主教 ,她们被认为被恶魔附身,但除魔方法匪夷所思。导演罗素称这部影片是他所有作品中“唯一的、而且最政治性 的 影片”,这一对“洗脑”作出清晰刻画并对政教之间的勾结作出描绘的影片被英国电影分级委员会和华纳影业禁放,华纳影业至今仍宣称这部影片强烈不适于公开放映。
备注:已完结
类型:动作片
主演:热拉尔·朗万 乔伊·斯塔尔 阿丽斯·塔格里奥妮 伊马诺尔·佩尔塞 西蒙
导演:法布里斯·度·沃尔斯
语言:法语
年代:未知
简介:文森(伊马诺尔·佩尔塞 Ymanol Perset 饰)表面看来只是一介平凡青年,却拥有着一身了得的射击本领,年仅二十五岁的他作为官方认可的枪械教官,深受业内同行的尊重和赞赏,前途可谓一片光明。 某日,一位名叫米罗(乔伊·斯塔尔 Joey Starr 饰)的警察出现在了文森的身边,殊不知他的所作所为将会彻底改变这位青年的命运。接二连三的意外让文森被迫处于争斗的漩涡中心,不断沉浮于阴谋和罪恶之中。特警队指挥官查韦斯(热拉尔·朗万 Gérard Lanvin 饰)和行动大队指挥官德纳尔(西蒙·阿布卡瑞安 Simon Abkarian 饰),两人之间的矛盾已经到了无法调解的白热化程度,他们一位是文森的保护者,一位是他的师父,身陷在恶斗的中心,文森将会作出怎样的选择?
备注:已完结
类型:纪录片
主演:蒂莫西·利瑞 艾德·艾姆许维勒 Franz Fuenstler 杰克·
导演:乔纳斯·梅卡斯
语言:英语
年代:未知
简介: Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969 Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963. « Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. » Jonas Mekas « Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. » Jonas Mekas, 1972 « Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. » P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997 « Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. » Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000